Bilan de mon alternance et obtention de mon BTS Gestion de la PME – 2024-2025
Deux ans de reconversion qui se terminent proprement, et qui ouvrent dix années où je veux tout donner : progresser, apprendre, rester aligné avec moi-même.
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Hier, le 30 juin 2025, j’ai terminé mon contrat d’alternance chez Orange (GI 53-72), et en même temps, j’ai validé mon BTS Gestion de la PME avec une moyenne de 14,06.
Prendre du recul, enfin
Cette alternance m’a offert le luxe le plus rare : du temps pour observer. J’ai vu des managers sous l’eau, pris dans l’opérationnel, sans ligne claire. Ça m’a rappelé mes heures de maître-nageur : vendre mon temps, attendre, ne rien construire. Là, j’ai compris la vraie valeur du temps et pourquoi je ne veux plus jamais le brader.
Prioriser avec la matrice Eisenhower
La matrice Eisenhower, je l’utilise comme un filtre. Chaque demande passe à travers : important ? Urgent ? Qu’est-ce que ça implique ? Ensuite, je décide de l’action et du bon canal (un appel, un Teams, un mail ?). Ça m’évite de subir. Ça me rend acteur.
Qui fait quoi ? Toujours la question
Tout est une chaîne. Si ça bloque, c’est souvent que le besoin n’est pas clair. Chez Orange, j’ai vu ce que le manque de communication peut créer : des réunions sans fin, des allers-retours inutiles. Parfois, un simple coup de fil suffisait à tout débloquer.
Demain, en tant que manager, je veux clarifier qui fait quoi, rendre les priorités visibles et qu’on avance ensemble. Sans jargon inutile.
Manager, c’est observer et s’adapter
Grâce à mon tuteur, j’ai découvert la matrice Compétence / Motivation. Un outil simple : est-ce que la personne sait faire ? Est-ce qu’elle a envie ? On ajuste, on accompagne. Mon tuteur m’a fait confiance, malgré mon parcours atypique. Il m’a donné des bases solides qui me suivront partout.
Les indicateurs : oui, mais humains
On aime les chiffres. Pourtant, ce qu’on oublie souvent, c’est l’humain derrière. Collecter, analyser, interpréter, agir. Les tableaux, c’est facile. Comprendre réellement ce qui se passe, c’est autre chose.
L’échec : normal et utile
L’agilité ? Un mot à la mode. Moi, je préfère parler d’avancer, d’essayer, de se planter, d’apprendre. Après chaque échec : pourquoi ? Qu’est-ce qu’on change ? Le reste, c’est du décor.
Curiosité, toujours
Comprendre, creuser, ne pas rester en surface. La curiosité, c’est ce qui me pousse à avancer depuis toujours. Elle sera mon moteur pour la décennie à venir.
Cap 2035
J’ai 30 ans. Les dix prochaines années, je les veux intenses, alignées et vivantes. Avec quatre piliers :
Management (dans l’idéal, dans le sport dès 2026)
Sport (la pratique, le corps, l’esprit, pas les tribunes)
Entrepreneuriat (ma vraie finalité, parce que j’ai l’esprit pour ça)
Leadership (pour fédérer et avancer à plusieurs)
Au centre de tout ça ? L’humain. On n’avance jamais seul.
Pourquoi l’entrepreneuriat ?
Parce que le salariat est un outil. Pas une fin. Mon but, c’est la liberté. Créer du sens. Reprendre mon temps. Et ce temps-là, personne ne me le rendra.
Merci
À Orange et plus particulièrement le GI 53/72, pour leur confiance et les excellentes conditions d'alternance !
À AFOREM, pour le cadre, pour m'avoir apporté du cadre et trouvé ma "petite PME".
À mes proches, mes parents et ma copine, pour leur soutien, même quand mes idées semblaient folles.
À ceux qui ont cru en moi.
À ceux qui n’y ont pas cru, et que je salue aussi.
« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. » — Sénèque
Deux ans de reconversion qui se terminent bien. Une décennie qui commence. Rester droit, rester moi-même, avancer sans me trahir. Voilà mon vrai cap.
(Article rédigé à l’aide de l’IA)